Vous avez trouvé la statue dédiée à la mémoire des esclaves. Un double masque à la fois tourné vers l’Europe et partout dans le monde pour ainsi ne pas rester figé dans le passé, mais également pour observer le présent et regarder l’esclavage qui a cours encore de nos jours…

Nous en savons plus sur la tétrodotoxine : à des doses quasi létales, la victime peut sembler morte alors qu’elle reste consciente. Elle est utilisée dans des rites vaudous Haïtiens afin de simuler la mort, de soumettre l’esprit et a longtemps alimenté le mythe de zombies esclaves. Certains rites mentionnent également le transfert d’âme ou de conscience collective et rejoignent sur quelques aspects le mythe de la pierre philosophale.

Un certain Alexis-Marie de Rochon, astronome et voyageur Brestois fait mention en 1791 de la Cérémonie du Bois-Caïman : une réunion d’esclaves la nuit du 14 aout de la même année, considérée en Haïti comme l’acte fondateur de la révolution et de la guerre d’indépendance qui fut le premier grand soulèvement collectif de Haïti contre l’esclavage. Deux ans à peine après la révolution Française.

La statue du Polder semble avoir un lien fort avec cette affaire.

Cependant en creusant la piste d’A.M de Rochon, nous découvrons quelque chose de beaucoup plus sibyllin. Une correspondance épistolaire abondante avec Josiah Wedgwood, alors membre de la “Lunar Society” fait état de la préparation du soulèvement révolutionnaire en Haïti. Une lettre étonnamment bien conservée mais cependant cryptée a pu être décodée partiellement par Echo//, sur le principe de l’Inscription de Shugborough, que J.W aurait prétendu résolu.

“L’éther […] instable. Solidification par toxine […]. Résonance forte […] Pont Mort […] vivant.”

C’est parfois Erasmus Darwin qui répond aux correspondances. Oui, médecin, botaniste, poète et inventeur, père de Charles Darwin. Le trio Alexis-Marie, Josiah et Erasmus semble travailler de concert sur une substance inconnue dénommée “Ether”, autrement dit : le 5ème élément.

La plupart des correspondances restantes sont conservées à Birmingham et par une très ancienne loge maçonnique Brestoise : “L’Heureuse Rencontre” dont les documents ont été saisis par les Nazis lors de la seconde Guerre Mondiale.

Un important transfert d’archives et d’œuvres d’arts étaient entreposées dans l’Hôpital souterrain de la Kriegsmarine. L’entrée est toujours accessible, bien que non marquée officiellement, une salle de spectacle s’y trouve maintenant devant : La Carène.

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